Top 3 des activités pour sensibiliser ses enfants à écologie
Non classé

Top 3 des activités pour sensibiliser ses enfants à l’écologie.

 

S’il est un sujet au centre de tous les débats depuis maintenant quelques années, c’est bien l’écologie. Lorsque l’on est adulte, il va de soi que ne pas avoir la moindre conscience éco responsable est une forme de fuite en avant qui ne pourra que nous mener dans le mur, il faut donc s’intéresser à, et s’informer un minimum sur la chose, ne serait-ce que pour ne pas continuer à avoir une empreinte carbone aussi élevée qu’elle a pu l’être ces dernières années, voire ces décennies même…

 

Cela en va de notre responsabilité d’être humain et doit aussi nous faire réfléchir sur le leg que nous préparons aux générations qui arrivent, car elles n’ont pas demandé à naître dans un dépotoir…ou dans une décharge plastique à ciel ouvert… 

 

Lorsque l’on veut parler d’écologie à un enfant, étant donné que son esprit est parfaitement arable et vierge de tout préjugé, il est possible de rendre les choses plus amènes, notamment parce que les mauvaises habitudes ne sont pas encore imprimées trop profondément en lui, et c’est dans ce but que nous avons créé ce contenu. Nous allons donc nous pencher sur 3 activités, sympas qui plus est, grâce auxquelles vous allez pouvoir sensibiliser vos charmantes têtes rousses, brunes ou blondes à l’écologie, et le tout sans dogmatisme.

 

Top 3 des activités pour sensibiliser ses enfants à écologie

  

I/ Jardiner avec vos enfants.

 

Si vous avez la chance d’avoir grandi à la campagne, aux côtés de vos grands parents (car c’est souvent eux qui jardinent, mais pas nécessairement…), ne conservez-vous pas des souvenirs particulièrement émus lorsque vous repensez à ces moments qui n’ont pas de prix, durant lesquels vous avez été, pas à pas, introduit à la terre, à la graine, à l’arrosage, au repiquage, ou encore à la cueillette, en compagnie de ces aînés qui, le front ridé et les mains sales, vous ont amené à comprendre ce qu’était réellement le cycle de la vie et des saisons ?

 

Alors effectivement, il faut en avoir conscience, les temps ont changé et le monde d’aujourd’hui n’est plus tout à fait celui d’hier, mais il n’en demeure pas moins que certaines choses sont immuables et le jardin de 2021 ne doit pas être vu différemment de celui que vous avez connu dans les années 80 ou 90.

 

Apprendre à un enfant à quoi ressemble un plant de tomate, un plant de haricot, un framboisier, un fraisier, autant de choses qui vous semblent plus que naturelles, voire innée, mais qui ne le sont pas…alors remédions à cela ensemble et avançons avec plein de bon sens, dans le bon sens !

 

Si vous souhaitez jardiner avec vos enfants, et leur donner ce goût et ce rapport à la terre matricielle qui a tendance à se perdre un peu avec les générations numériques, sachez que vous allez avoir besoin de quelques outils de base et d’un peu de patience. Mais un enfant reste un enfant et sitôt qu’il aura mordu dans l’activité et observé les plantes, les fruits et les légumes qui poussent grâce à lui (en partie…), il y a fort à parier qu’il conviendra sans problème qu’il est très agréable et valorisant de troquer le pad, la manette, la souris et tous leurs cortèges de pixels et de polygones animés, contre un peu de vivant qui se sent et qui se mange…

 

Pour préparer les petits travaux en commun, nous aurions tendance à vous recommander quelques outils à mains (plutôt que des outils avec un long manche, qui sont bien plus compliqués, voire dangereux, à manipuler), parmi lesquels on peut citer une petite pioche (la fameuse serfouette) afin de creuser les sillons où vous pourrez semer les graines et les enfouir, des griffes ou une binette afin de casser la croûte de terre superficielle (la binette sert aussi à couper les petites herbes et les racines indésirables), un petit râteau à main afin de préparer et d’égaliser le sol et de le plomber (on dit aussi tasser) une fois les semis effectués.

 

Vous pouvez également envisager d’acquérir la sempiternelle et incontournable petite pelle (aussi appelée le transplantoir), qui va être utilisée afin de creuser des trous pour venir transplanter des plants (depuis leurs pots par exemple) que vous souhaitez faire pousser ; nous vous conseillons aussi de vous fabriquer un cordeau, grâce auquel vous allez pouvoir tracer des lignes droites (car cela n’est pas toujours évident pour les enfants, y compris sur de très courtes distances), ce qui, dans un jardin, afin de bien démarquer les différentes variétés de légumes, est tout simplement indispensable.

 

En plus de ce nécessaire à jardiner, vous pouvez aussi préparer des petites étiquettes plastifiées (pour repérer et noter vos semis une fois qu’ils sont enfouis, ainsi que la date à laquelle vous avez effectué le travail, c’est toujours bien de le savoir), et nous ne saurions trop vous conseiller de vous munir aussi d’un petit arrosoir, vous n’imaginez pas comme les enfants adorent l’utiliser et ont la sensation de peaufiner le travail en voyant jaillir les petits jets d’eau de la pomme. Notez que vous pouvez tout aussi bien utiliser un arrosoir classique de 5 ou de 6 litres, mais vous prendrez alors bien soin de ne pas le remplir complètement, car il serait alors trop lourd pour les petits bras encore un peu frêles de votre enfant.

 

Top 3 des activités pour sensibiliser ses enfants à écologie

 

Vous voilà parés pour emmener votre progéniture (ou vos petits enfants pourquoi pas ?) avec vous et pour lui donner le goût de regarder pousser la vie et les futurs repas qu’il retrouvera dans son assiette, en constatant, tout comme vous, que rien n’a autant de saveur qu’un produit que vous vous êtes vous même efforcé de faire pousser et de choyer ! Il ne vous reste plus qu’à vous salir les mains à présent, mais, nous ne doutons pas un seul instant que ce petit plaisir ne requiert pas que nous en fassions des lignes et des lignes, n’est-ce pas ?

 

Dernier petit tuyau, il est recommandé (autant que faire se peut) de jardiner dans des bacs un peu rehaussés, plutôt qu’à hauteur de sol, c’est un aménagement qui rendra les manipulations plus faciles et bien qu’il ne soit pas absolument nécessaire, cela aidera toutefois l’enfant à mieux se repérer dans l’espace, par rapport à un grand jardin de plain pied;en outre, il n’aura pas non plus à faire attention à où il peut ou ne peut pas poser ses pieds bottés. Par ailleurs, utiliser des bacs vous permettra d’y loger un volume de terre relativement meuble, qui sera bien plus facile à travailler. Au demeurant, méfiez-vous de ne pas aménager des bacs qui seraient trop grands, de sorte que les petits bras de l’enfant puissent atteindre l’ensemble de la surface utilisée pour le jardinage, sans quoi il pourrait s’en sentir un tantinet frustré.

 

N’hésitez pas non plus à utiliser des semences de végétaux qui vont avoir tendance à attirer les pollinisateurs (papillons, abeilles…) et pourquoi ne pas aussi penser à fabriquer un petit hôtel à insectes ?

 

Vous trouverez à ces fins un très grand nombre de tutoriels, sur internet, et ce sera l’occasion pour vous de montrer et d’expliquer à l’enfant l’importance absolu de ce petit monde minuscule sans lequel la planète ne serait pas tout à fait (ou même du tout…) ce qu’elle est…

 

Voilà pour ce qui est de l’activité jardinage, n’hésitez pas à poser des questions en amont, aux vendeurs, afin de choisir des légumes et/ou des fruits qui plaisent à votre enfant, sa motivation n’en sera que plus grande à tout faire pour les aider à croître paisiblement avec votre aide…

 

2/ La dépollution en famille, tant de la terre que des rivières…

 

Comme n’importe quelle autre famille, il vous arrive sans aucun doute de partir en promenade, voire en randonnée, en compagnie de vos enfants, et comme n’importe quelle autre famille, vous êtes déjà tombés nez à nez avec des monceaux de polluants ayant échoué ici ou là, dans un fossé ou même en bord de route ou du sentier que vous empruntez… L’irresponsabilité relativement généralisée de certaines personnes leur a fait perdre le simple sens du geste juste, si bien que se comporter comme un éco citoyen actif est déjà, en soi, une activité qui va sans l’ombre d’un doute forger à vos enfants une âme teintée de vert ; donnez l’exemple et vous récolterez au centuple ces petites graines que vous avez semées.

 

On peut souligner que cette activité de dépollution a plutôt le vent en poupe ces derniers temps, à tel point que si vous effectuez quelques recherches sur Internet et sur les réseaux sociaux, vous trouverez une foule de petits événements dédiés, voire des challenges, avec des vidéos de personnes qui mettent en ligne les tristes butins de leurs virées, qui se présentent sous la forme de monceaux de polluants plastiques et autres matières non biodégradables… Voilà pour le coup un excellent moyen de faire le buzz… Un buzz, il faut se le dire, que même nos si chères amies les abeilles ne renieront pas !

 

Avant de parler d’une activité un peu plus pointue et contraignante à réaliser, dans le cadre d’une dépollution de rivière ou d’un point d’eau, commençons si vous le voulez bien par la base, à savoir l’idée de simplement vous considérer comme un combattant de la nature, un ami de la terre, lorsque vous sortez faire une balade en famille, à pied.

 

Pour ce faire, rien de plus simple, vous allez seulement emporter avec vous un sac poubelle (doublé si possible) dans lequel vous allez déposer tous les polluants (la plupart du temps ce sera du plastique, et parfois du verre ou de l’aluminium…) qui vont croiser votre chemin au cours de la promenade ; nous recommandons l’utilisation de gants (si nous pouvions vous l’imposer, nous le ferions d’ailleurs…), de sorte que personne ne se coupe, ne se pique ou ne se blesse en ramassant les déchets lors de la “collecte déambulatoire”.

 

De notre point de vue, le mieux est peut-être de donner un petit sac à chaque enfant, de sorte qu’il se sente investi, au même titre que vous (pas moins…), de sa réelle part de responsabilité dans le processus.

 

Au cours de vos pérégrination donc, en plus de bien prendre le temps de montrer, d’expliquer et de décrire certains traits de la nature que vous allez croiser (un insecte, un animal, une plante…), chaque participant pourra donc scruter autour de lui, fouiller le paysage du regard, pour y dégotter, non pas seulement un jolie espèce d’araignée, de libellule ou de papillon, mais aussi une canette ou un bout de plastique abandonnés, une bouteille jetée sans conscience, voir un masque chirurgical (car ce dernier objet très polluant une tendance à fleurir massivement ces derniers mois, notamment sur les bords des routes et des sentiers, mais aussi dans les champs et les prairies de nos campagnes…).

 

Top 3 des activités pour sensibiliser ses enfants à l'écologie

 

Il n’est pas nécessaire de lancer une véritable compétition entre vous, néanmoins, pour certains enfants, le fait de sentir que l’activité est non seulement importante, mais qu’en plus son impact est indexé à la quantité de déchets amassée, va d’autant plus les motiver ; à vous de voir donc, en fonction de la personnalité du ou des enfants qui vous accompagnent, ce peut être un levier sur lequel jouer.

 

Par ailleurs, que l’esprit de compétition ait été invoqué ou non, ne vous trompez pas d’objectif, ou plutôt, faites en sorte que l’enfant, lui, ne se trompe pas. Qu’il se flatte d’avoir ramassé une grande quantité de déchets est positif dans l’absolu, mais l’essentiel est vraiment de lui faire comprendre que ce n’est pas quelque chose, ni de naturel, ni de vertueux pour la planète, que nous en soyons rendus à en trouver autant…

 

Enfin, et pour finir, une fois la  “méphitique récolte” effectuée, il convient de faire un tri afin de ne pas gâcher vos efforts… Le verre avec le verre, le métal avec le métal etc etc.

 

Pour ce qui est de la 2nde partie de notre petit chapitre sur la dépollution, que nous évoquions plus tôt, ce dernier volet de tri que nous venons d’évoquer, n’aura pas à être effectué, dans la mesure où l’ensemble des polluants que vous allez amasser seront métalliques…

 

Là encore nous allons parler d’une activité qui connaît un essor généralisée en France, en réaction à la pollution de nos rivières et de nos points d’eau, qui amènent certaines espèces aquatique ou semi aquatiques (comme les batraciens par exemple…) à tout simplement disparaître par endroit (et sans que la surpêche, cette fois-ci, n’y soit pour quoi que ce soit…). L’activité à laquelle nous pensons est la pêche à l’aimant !

 

Nous avons rapidement dit qu’elle était un brin plus contraignante que la simple balade dépolluante, et pour cause, elle est sujette à certains dangers et doit être bien encadrée. La pêche à l’aimant comporte des risques dont il faut bien avoir conscience et elle ne peut se pratiquer QUE dans des conditions de sécurité absolument maximales et maîtrisées. Par ailleurs, elle est aussi rigoureusement encadrée par la loi, et le mieux est d’en informer la commune sur laquelle vous comptez la pratiquer, si vous ne souhaitez rencontrer aucun problème avec les autorités locales.

 

Afin de pratiquer la pêche à l’aimant, bien entendu, il va falloir commencer par vous procurer un aimant (aussi puissant que possible…avec un minimum de 100 kg) ; le mieux est un aimant à double face, de sorte qu’il accroche des deux côtés. Une fois que vous avez fait cela, il faut l’attacher TRES solidement à une corde elle même TRES solide…et le tour est joué !

 

Il ne vous reste plus qu’à arpenter les campagnes en quête de points d’eau, de rivières, de ruisseaux, où vous allez jeter votre ligne afin de « draguer » le fond… Tirez doucement sur la corde, sans à-coup, et…assistez au miracle de la prise…

 

Très sincèrement, pour la pratiquer très régulièrement (avec les enfants), cette activité est vraiment hyper ludique et elle passionne les enfants (pendant une heure ou deux…), chaque lancer est l’occasion d’envisager remonter quelque chose (et les enfants rêvent même de coffre au trésor !) et…c’est extrêmement valorisant de s’attaquer à cette forme de pollution aussi bien cachée !

 

Cette activité originale est également, bien entendu, l’occasion d’expliquer aux plus jeunes, à quel point les rivières sont importantes et comme il est irrespectueux vis-à-vis du monde, de se débarrasser d’objets métalliques usagers en les faisant simplement disparaître au fond de l’eau.

 

3/ Plébisciter les activités Do It Yourself et donner plusieurs vies aux objets…

 

Une nouvelle fois nous avons affaire à des activités qui rencontrent un engouement certain auprès d’une certaine frange de la population, pour qui l’environnement et l’écologie font sens…

 

En quelques mots, le Do It Yourself c’est le fait de fabriquer par vos propres moyens toutes sortes de choses et d’objets, plutôt que de les acheter et de participer à la grande messe frénétique de la surconsommation ; quant au réemploi (à ne pas confondre avec le recyclage), il consiste à conférer une seconde vie à divers objets de la vie de tous les jours. Pour faire simple, le recyclage va s’employer à réutiliser les matériaux ayant servi à la production de tel ou tel produit, alors que le réemploi va remettre l’objet dans le circuit de consommation (après réparation ou adaptation si nécessaire…).

 

– Le Do It Yourself

 

Ce mouvement est très en vogue et vous trouverez des centaines, voire même des milliers de vidéos dédiées au sujet sur la toile.

 

Que vous souhaitiez vous confectionner un déodorant (bio qui plus est…), des produits lavants de la maison (la lessive, le liquide vaisselle, le désinfectant etc.), des serviettes hygiéniques, certains types de mobilier (les lampes, les armoires, les poufs, etc.), des emballages pour absolument tout, des cosmétiques (que l’on parle de crème, de shampooings solides ou liquides, de gels douches, des masques, etc.) et bien vous trouverez en quelques clics des dizaines de tutoriels pour vous expliquer comment vous y prendre…

 

Attention, nous insistons sur le fait qu’il y a, comme toujours, à boire et à manger parmi cette foultitude de vidéos qui présentent des produits DIY, néanmoins, en vous arrêtant sur les commentaires des utilisateurs qui ont déjà fait l’essai et qui le considèrent transformé, vous serez à même de trancher et d’opter pour des formules qui vous correspondent et des designs qui vous plaisent.

 

La mode DIY est très économique, dans la mesure où le plus souvent, les produits de base qui sont utilisés sont très peu onéreux. Ainsi, pour peu que vous ayez un peu de patience et à disposition quelques gouttes d’huile de coude (parfois un peu plus, convenons-en…), ne serait-ce que pour votre budget, le DIY peut s’avérer très intéressant. En outre, généralement, cette mouvance met aussi l’accent sur l’aspect écologique de la chose, si bien que bon nombre des tutoriels dont nous vous parlons préconisent l’utilisation de matières premières brutes, bio ou qui ne vont pas alourdir ou faire empirer votre empreinte carbone. En outre, lorsque vous confectionnez vous-même un meuble ou une crème de jour, vous aurez toute latitude de ne pas utiliser l’arsenal chimique habituel qui est le lot des grandes enseignes, sous couvert d’une qualité et d’une sécurité parfois très discutables…

 

Top 3 des activités pour sensibiliser ses enfants à écologie

 

– Le réemploi ou la 2nde vie des objets

 

Au même titre qu’un chat, certains objets peuvent avoir plusieurs vies, alors, le total ne s’élève peut-être pas 9 comme c’est le cas pour le félin de nos foyers, mais 2 ou 3 tout de même, ce qui est déjà pas mal.

 

Combien de fois avez-vous jeté un ustensile de cuisine, un appareil électroménager, une lampe, de la vaisselle, des jouets, simplement parce qu’ils ne vous plaisaient plus ou ne correspondait plus aux standards de vie que vous vous étiez fixés ? Cela est le lot de tout le monde ou presque, mais il ne faut pas penser que ce type de consommation irraisonnée (dans certains cas) est sans impact pour la biosphère… Changer de téléphone portable tous les 3 mois par exemple, c’est faire peu cas des métaux précieux et des centaines de matériaux polluants qui le composent par exemple, surtout s’il fonctionne encore parfaitement…et nous disons cela sans vouloir culpabiliser qui que ce soit.

 

Il existe tout un marché du réemploi, à l’intérieur duquel vous trouverez de très nombreux articles d’électroménager qui fonctionnent parfaitement, de jouets qui ne demandent qu’à entrer dans la vie d’un nouvel enfant (pensez à Toy Story !), de meubles divers encore parfaitement fonctionnels et qui seraient du plus bel effet dans votre intérieur, quelle que soit la pièce considérée…

 

Apprendre à votre enfant à se servir de ses mains, de sa tête (plutôt que d’ouvrir son portefeuille ou de casser sa tirelire…) à savoir faire des choses par lui-même, et lui montrer en amont que c’est ce que vous faites au jour le jour, lui faire intégrer l’idée que vous n’avez pas nécessairement à acheter du neuf lorsque vous pensez à changer votre lampe de salon, ou votre bibliothèque, et lui expliquer pourquoi vous optez pour ce mode de consommation, et bien toute cette panoplie de comportements sensés, va nécessairement contribuer à lui donner une âme écologique.

 

Il n’est pas nécessaire d’acheter pour acheter, de consommer pour consommer et de se tourner systématiquement vers du neuf et du rutilant, il faut savoir prioriser les besoins et les utilisations que nous faisons de ce qui nous entoure, c’est en ce sens que le DIY et le réemploi des objets, pour peu que l’on prenne bien le temps d’en expliquer la philosophie aux enfants, peut s’avérer une activité extrêmement vertueuse, à tous les niveaux ; et cela vaut non seulement pour vous, mais aussi pour vos enfants, et bien sûr, pour notre Belle Bleue chérie.

  

Par Romain Pillard

 

SWISS FX Huile de CBD

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *